Et si ton travail c'était de t'aimer quand tu te sens coupable?
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Et si ton travail c'était de t'aimer quand tu te sens coupable?
Rappelle toi que ton travail, c'est de cultiver cette parcelle précieuse nommée vie qui t'a été confié.e comme le bien le plus précieux. Tu ne reçois pas ce message par hasard. Tu n'es pas seul(e). Respire.
Et si ton travail était de t'aimer justement lorsque tu n'as qu'une seule envie c'est de t'engluer dans la culpabilité?Si ton travail c'était de cesser toute critique et tout jugement envers les autres. Et surtout, surtout, surtout envers toi même.
Et si ton travail était de t'aimer inconditionnellement quand tu fais des "erreurs" au boulot, quand dans ton couple ça ne va pas.
Et si finalement tout est aussi simple que de s'aimer de manière absolue?
Si ton travail c'était d'aimer, d'aimer ses pu** de parts d'ombres,
De les aimer tellement jusqu'à les illuminer,
De les porter comme des trophées d'humanité,
Des pépites d'or.
S'il suffisait d'avoir cette enfantine confiance que l'on mérite d'être dans la plenitude et heureux.
S'il suffisait de:
- remplacer la peur par l'amour,
- remplacer les jugements et critiques par l'amour.
Lorsque tu te sens coupable, lorsque tu te sens nulle, pas à ta place, un imposteur qui doit, sous un masque social dissumuler carences et incompétences…
Et surtout, lorsque te compares aux autres :
- Prends une pause,
- Acceuille cette sensation,
- Reconnais là,
- Et surtout, surtout aime là.
Libère toi du besoin d'en faire plus.
Respire, devant un miroir, regarde toi dans les yeux et répéte:
Je m'aime quoiqu'il arrive.
Je suis assez.
Tout est pour le mieux,
Je m'en sortirais avec succès et je respire.
J'ai une valeur inestimable et intrésèque juste du fait d'être en vie.
(Tu peux aussi te parler et comme une mère à son nourrisson te dire : dans les yeux "je t'aime")
Rappelle toi que ton travail, c'est de cultiver cette parcelle précieuse nommée VIE qui t'a été confiée comme le bien le plus précieux. Tu ne reçois pas ce message par hasard. Tu n'es pas seul(e). Respire.
Avec tout mon amour,
Anaïse